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Alors que le contexte international crée aujourd’hui les conditions d’une vague de mobilité sans précédent parmi les chercheurs à travers le monde, la France entend se positionner comme un lieu d’accueil pour ceux qui souhaiteraient poursuivre leurs travaux en Europe, en s’appuyant sur l’écosystème et les infrastructures de recherche de notre pays...
Ouais, pendant ce temps-là, dans la recherche, on nous impose chaque année de nouvelles économies, tout en maintenant les cadences de production, et en ne soutenant clairement pas certains laboratoires qui ne vont bientôt plus contenir aucun.e chercheur.se... Ya un petit décalage... Mais pour l'effet d'annonce, c'est pas mal.
Quelles conséquences ont sur la probité de la littérature scientifique les quelque 10 000 articles rétractés sur un total de 3 millions de nouvelles publications annuelles ? Plus qu’on ne pourrait le croire !
Stephen Hawking avait prédit « la fin du monde » dans un futur relativement proche en raison de la surpopulation et de la surconsommation. Si la NASA...
Oh ben flûte, je serai pas là pour voir ça...
On est d'accord, c'est bien Stephen Hawking qui parle, pas le grand gourou d'une secte quelconque...
A regarder plus tard...
Oh ben flûte... Je me souviens être allé faire une observation dans cet observatoire en 1997, avec le club des Marmousets (du centre de loisir de Macey). J'y ai observé en direct, pour la première fois de ma vie, les anneaux de Saturne. Tout comme les enfants qui participaient à cette sortie... Ce type de lieu devrait être conservé, au moins à des fins pédagogiques, si tant est que nous souhaitions que nous chères têtes blondes s'intéressent à la science...
J'écoute ça et je découvre Gaston Bachelard...
La rédaction de Science & Vie lance un nouveau journal scientifique indépendant... À faire circuler, donc, le plus largement possible ! (et s'abonner au passage, ça serait pas mal)
C'est moi qui ai accompagné la transmission de la revue Comptes Rendus Palevol aux Publications du Muséum :o) Un très beau projet, encore à ses prémices en ce qui nous concerne, puisque de nombreux articles restent à paraître à ce jour, mais le début d'une belle aventure.
La nouvelle page de la revue, sur laquelle les articles sont diffusés en open access diamant :
http://sciencepress.mnhn.fr/fr/periodiques/comptes-rendus-palevol
À écouter plus tard...
La NASA permet de s'inscrire en ligne pour envoyer son nom dans l'une des prochaines missions pour Mars... C'est ridicule, mais ça me fait rêver...
Particulièrement d'actualité...
Article très intéressant sur la manière d'écrire les unités de grandeur. L'ensemble des articles de ce site est toujours passionnant !
Je ne savais pas...
Il est vraiment intéressant ce site (découvert via @sebsauvage bien sûr !) :
Une carte bien fichue, qui montre de manière dynamique toutes les découvertes archéologiques qui ont été faites autour de Paris (il y en a plus de 2000). Les découvertes sont souvent faites à l'occasion de travaux immobiliers. C'est vraiment pas mal !
À chaque fois qu'on annonce un nouveau disque dur ou une nouvelle carte sd, d'une capacité supérieure à celle de la génération précédente, je repense à mes touts débuts dans l'informatique...
– mon premier ordinateur, un MO5, n'avait pas de mémoire morte ; on chargeait les programmes (et les jeux) depuis des cassettes (très longs mais très faciles à copier) ou depuis des cartouches (chargement instantané mais incopiable) ; quand on éteignait l'ordinateur, tout était perdu...
– le premier PC que j'ai utilisé n'avait pas de disque dur, uniquement un double lecteur de disquette 5'1/4 ;
– je passe sur l'achat d'un PCW de chez Amstrad, qui avait aussi un double lecteur de disquettes, mais de 3 pouces (oui oui, sans le demi que nous connaissons bien...) ;
– le premier vrai PC que nous avons acheté (je dis "nous", entendez "mes parents") avait un disque dur de 40 Mo (méga) ; c'était une "révolution" ; le suivant un disque de 80 Mo, auquel nous lui avions enjoint un second disque de la même capacité, et que "nous" avions payé 800 francs (environ 120 euros d'aujourd'hui) ;
– je suis ensuite passé par les disques de 1,2 Go (giga), puis 3,2 et 6,4 Go, puis 320 Go, puis 1 To (tera), puis 2, puis 3...
Aujourd'hui, on peut stocker dans l'équivalent d'un ongle de petit doigt 1 To de données... Et on arrive à faire rentrer 16 To de données dans un espace physique exactement identique à il y a 30 ans...
Tout cela me laisse toujours comme deux ronds de flan... !
En lien avec l'exposition actuellement à la Cité des Sciences :
MICROBIOTE
D'APRÈS "LE CHARME DISCRET DE L'INTESTIN"
DU 4 DÉCEMBRE 2018 AU 4 AOÛT 2019
(http://www.cite-sciences.fr/fr/au-programme/expos-temporaires/microbiote/)
On a découvert un ancêtre de nos baleines, possédant 4 pattes et une queue dont il se servait pour se propulser dans l'eau ! Une sorte de grosse loutre de quatre mètres... L'animal, âgé de 42 millions d'années, est à mi-chemin entre les ancêtres indo-pakistanais des baleines (il y a 50 millions d'années), qui étaient terrestres, et ceux nord-américains, âgés de 41 millions d'années 'seulement', mais qui avaient perdu la capacité à se mouvoir sur le sol (et étaient donc déjà des animaux aquatiques uniquement).
Trouvé au Pérou par une équipe de chercheurs internationale, c'est vraiment une découverte extraordinaire, car elle explique en partie le trajet qu'ont pris ces baleines préhistoriques pour passer de l'Asie au continent américain, via l'Afrique de l'ouest, alors beaucoup plus proche de l'Amérique du Sud.
L'article est paru dans la revue Current Biology, et une petite vidéo de 5 minutes du premier auteur (Olivier Lambert, en anglais) résume de manière très pédagogique le contenu de cette découverte. Les reconstitutions sont également magnifiques !
L'article paru dans Current Biology https://www.cell.com/current-biology/fulltext/S0960-9822(19)30220-9 (la vidéo est accessible depuis l'article)
Je serai amené à vous reparler de ce site, http://mon-herbier.teznet.fr, que j'ai développé pour ma mère, Sonja, qui avait reçu par une connaissance un herbier papier de près de 2000 planches...
Aujourd'hui, l'herbier est entièrement numérisé et informatisé, ils ne nous reste plus qu'à lisser les données avant de pouvoir nous lancer dans l'exploitation des données. Un projet à coup sûr passionnant !